Hommage à Sylvia Plath

La mer est une, ne change que par ses bords. Formes rectilignes, aplaties des plages, lignes lisses des dunes, discontinuités des rochers, des falaises, distributions des fleuves par leurs embouchures ; et puis ce qui s’accroche, se dépose: des chaises-longues, les empreintes de pas se résorbant, les châteaux fondus, une pelle, un livre retourné. Et la reine Victoria, en noir, regard vers le large.