Soudain lisant, une sonnerie : celle du métro parisien. Trouble, vacillement. Je lève les yeux, pas d’accroc au réel.
Pourquoi pour une fois ne pas attendre après, une fois descendu du train, une arrivé en haut de l’escalier, un peu avant le hall, près des seaux alignés pour recueillir l’eau qui traverse le toit?
Le toit du train, comme son propre dos découvert, depuis le pont, presque immobile: couleur sombre aux abords du noir. Morale: il n’y a rien à voir.